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Budget : l’absence de vote met-elle la France « en péril » ?

Bonjour chez vous !

Le Premier ministre a alerté sur « l’absence de budget » qui serait « un péril pour la France ». Dans l’Hémicycle de l’Assemblée nationale, les débats se poursuivent encore jusqu’au lundi 24 novembre, avec encore près de 1.500 amendements à discuter. Après un week-end de pause, les députés du socle gouvernemental sont accusés par les oppositions de ralentir volontairement les votes, avec de très nombreux amendements déposés. Le vote du Parlement sur le budget aura-t-il lieu ? Pour Aurore Malval, grand reporter politique pour Marianne : « Tout est possible pour qu’au bout du chemin le budget passe. Sébastien Lecornu rejette pour le moment les instruments à sa disposition : les ordonnances, qui n’ont jamais été utilisées pour le budget, et le 49.3, qui est un outil de brutalisation qui a été dévoyé par les gouvernements successifs pour simplement éviter le débat à l’Assemblée nationale. Peut-être que Sébastien Lecornu devra se résoudre à leur usage ». Pour Antoine Oberdorff, journaliste politique à L’Opinion : « Au regard du grand bazar budgétaire qu’on a vécu à l’Assemblée nationale, il serait temps de sonner le tocsin. Sébastien Lecornu, au début de l’examen budgétaire, avait déjà donné une marge supplémentaire. On était partis de 4,6% de déficit, il avait desserré l’étau à 5% de déficit. Mais au fur et à mesure que les débats avancent, qu’une taxe succède à une autre, qu’au contraire, des économies soient supprimées, le compromis pourrait se faire sur le dos du déficit ».

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