Ce mercredi, les sénateurs auditionneront Michel Delpuech, préfet de police de Paris, Eric Morvan, directeur de la police nationale ou encore Patrick Strozda, directeur de cabinet d’Emmanuel Macron. Des évènements à suivre en direct sur notre antenne et nos plateformes.
Suite à l’audition de Gérard Collomb par la commission d’enquête sénatoriale sur l’affaire Benalla, François-Noël Buffet, sénateur LR du Rhône, réagit au micro de Public Sénat.
Lors son audition devant la commission d’enquête du Sénat, Gérard Collomb a affirmé que « les journaux » lui avaient appris « toute une partie de l’histoire de M. Benalla ». Ce qui n'a pas manqué de lui valoir une remarque acerbe de Philippe Bas.
Les questions d’actualité du Sénat ont essentiellement été consacrées à l’affaire Benalla. Pressé par les questions du président du groupe LR, Bruno Retailleau, Édouard Philippe a estimé que « les agissements d’un individu » ne constituaient pas une affaire d’État.
Auditionnés par la commission des Lois du Sénat, les syndicats de police ont fait état de plusieurs remontées de terrain mettant en cause le comportement d’Alexandre Benalla avec les agents ou la hiérarchie de la police.
À l’occasion des questions d’actualité au gouvernement, le Premier ministre s’est vu adresser une question sur la réforme constitutionnelle et son calendrier.
Yves Lefebvre, secrétaire général de l’unité police FO, interrogé par la commission d’enquête sénatoriale sur l’affaire Benalla, affirme que celui-ci employait des privés pour s’occuper de la sécurité présidentielle, ce qui provoquait des tensions.
Auditionné par la commission d’enquête du Sénat, Yves Lefebvre, secrétaire général Unité SGP-police Force ouvrière indique qu’Alexandre Benalla allait « jusqu’à l’insulte à l’encontre des gradés et des gardiens de la paix du Groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR).
Auditionné par la commission d’enquête du Sénat, Fabien Vanhelmeryck, secrétaire général délégué d’Alliance Police Nationale affirme que les relations entre Alexandre Benalla et la CGE (Compagnie de Garde de l'Élysée) étaient « très très mauvaises ».