Le gouvernement a présenté son plan d’action visant à encadrer la mise en œuvre du traité signé entre le Canada et l’Union européenne. Les opposants au Ceta pointent des mesures « insuffisantes », que la France ne pourra pas imposer unilatéralement.
La décision sur le renouvellement de l’autorisation du glyphosate qui devait être prise à Bruxelles a été reportée par la Commission européenne, ce mercredi. Le sénateur (RDSE) Ronan Dantec, plaide pour une sortie progressive du glyphosate.
Lors d’un débat dans l’émission Sénat 360, Jean Bizet, président LR de la commission des affaires européennes du Sénat, a estimé que le glyphosate n’était pas un problème de santé publique. « On est en train de parler empoisonnement » lui a répondu Laurent Pinatel, porte-parole de la Confédération paysanne.
Les États membres de l’UE pouvaient décider, ce mercredi, d’une sortie progressive du glyphosate. La décision a finalement été reportée. Dans la foulée, la France s’est dite favorable à une « prolongation qui n’aille pas au-delà de 4 ans », mais ne suit pas la position du Parlement européen qui a voté, hier, sa disparition progressive.
Les LR n’en finissent toujours pas avec l’exclusion des Constructifs et des membres LR du gouvernement. Une volonté de clarification de la direction qui renvoie la droite à ses fractures profondes sur sa ligne politique.
Alors qu’une enquête préliminaire est ouverte concernant des « fuites » dans l’affaire Maëlys, le directeur de la gendarmerie et le Procureur de Grenoble ont réagi sur Public Sénat.
3, 5, 7, 10 ans… les États membres de l’UE devaient décider, ce mercredi, d’une sortie progressive du glyphosate, molécule classée « cancérogène probable » par l’OMS. La décision a finalement été reportée. Une nouvelle réunion devra avoir lieu avant le 15 décembre, date de la fin de l’autorisation du glyphosate en Europe.
Invité de l’émission « On va plus loin », Jean-Pierre Chevènement, président de la Fondation pour l’islam de France, revient notamment sur ce qu’est le « chevènementisme », le « transpartisanisme » de Macron et la crise en Catalogne.
Alors qu’une enquête est ouverte concernant des « fuites » dans l’affaire Maëlys, le directeur de la gendarmerie a réagi, ce mercredi, devant les sénateurs : « C'est pour la petite Maëlys que nous travaillons. »