Dans une vidéo de trente minutes, Jean-Luc Mélenchon affirme qu’il ne votera pas Front national sans préciser l’option choisie et rappelle que sa « mouvance politique n’a rien à voir avec l’extrême droite ». Il annonce aussi qu’il « dirigera la manœuvre » pour les législatives
"Décider de ne pas se souvenir c'est prendre le risque de répéter l'histoire", a déclaré Emmanuel Macron vendredi à Oradour-sur-Glane, où il rendait hommage aux victimes du village martyr.
Depuis plus de 40 ans, les débats politiques de l’entre-deux-tours se sont imposés comme moment incontournable de la campagne électorale sacralisant la confrontation et le spectacle du duel. Assistons-nous à un déclin de l’argumentation au profit d’une rhétorique de séduction plus que de conviction ? Les formules choc ont-elles définitivement remplacé les idées et le contenu politique ?
Départ du président intérimaire Jean-François Jalkh, défense d’Audrey Pulvar par Wallerand de Saint Just. Le Front national cherche à montrer que la « dédiabolisation n’est pas seulement un effet de façade », selon le journaliste David Doucet.
Avec vidéo postée sur son compte twitter, Marine Le Pen appelle, vendredi, les électeurs de La France insoumise à mettre « les querelles et les divergences de côté » et à « faire barrage à Emmanuel Macron » au second tour de la présidentielle.
« Patriote », « France soumise », « antisystème », avant même le débat de l’entre-deux-tours, prévu mercredi 3 mai, la bataille des mots a commencé entre Marine Le Pen et Emmanuel Macron. Deux candidats que tout oppose, mais qui partagent l’emploi de certaines formules. Pourquoi et dans quel but ? Nos experts se sont penchés sur la question.
Les programmes des deux finalistes à l’élection présidentielle, Emmanuel Macron et Marine Le Pen, mettent l’accent sur une politique de rupture ambitieuse pour les Outre-mer.