Manuel Valls a annoncé qu’il votera Emmanuel Macron au premier tour de la présidentielle. Deux mois plus tôt, il serrait la main de Benoît Hamon au soir de la primaire de gauche.
La sénatrice PS Marie-Noëlle Lienemann fustige la décision de Manuel Valls d’apporter son soutien à Emmanuel Macron. « Son seul objectif, c’est de fracasser la gauche et d’en récupérer un morceau » selon elle.
Ce matin, le groupe de travail de la commission des finances du Sénat sur les assiettes fiscales et les modalités de recouvrement de l’impôt à l’heure de l’économie numérique présentait son rapport sur la fiscalité de l’économie collaborative et la proposition de loi afférente. Objectif : clarifier et simplifier les règles applicables aux utilisateurs de plateformes numériques collaboratives, telles BlaBlaCar, Airbnb ou encore Uber.
Le candidat PS Benoît Hamon a appelé mercredi les communistes et le candidat de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon à « unir leurs forces aux (s)iennes », après la décision de Manuel Valls de rallier Emmanuel Macron.
Selon une enquête Ifop-Fiducial pour Public Sénat et Sud Radio, les Français apparaissent insatisfaits de la politique extérieure menée par la France depuis 2012. Ils souhaitent que la France retrouve son rôle moteur dans la construction européenne.
Manuel Valls a annoncé, ce jeudi, qu’il voterait pour Emmanuel Macron au premier tour. Sur Twitter, les réactions politiques ont fleuri et les invectives à l’encontre de l’ancien Premier ministre aussi.
David Rachline, directeur de campagne de Marine Le Pen, était ce matin l’invité de Territoire d’Infos, sur Public Sénat et Sud Radio. Le sénateur-maire de Fréjus est revenu sur l’échange tendu entre Marine Le Pen et David Pujadas hier soir.