La ministre des Solidarités et de la Santé, lors de la discussion générale ouvrant l’examen de sa réforme au Sénat, a affirmé qu’elle mesurait « pleinement les attentes » dans les « territoires ». Cherchant à rassurer la Haute assemblée, Agnès Buzyn garantit qu’il « n’y a pas de carte hospitalière cachée ».
Le président de la commission des affaires sociales, et rapporteur du projet de loi santé au Sénat Alain Milon (LR) a dénoncé le calendrier mis en place par le gouvernement pour l’examen de ce texte. Il a néanmoins annoncé que la commission n’a pas souhaité faire obstacle « à l’avancée des réformes ».
Lors de l’examen au Sénat du projet de loi relatif à l’organisation et à la transformation du système de santé, la ministre de l’enseignement supérieur de la recherche et de l’innovation Frédérique Vidal propose de supprimer le numerus clausus.
La nouvelle version de la réforme de la Constitution, probablement présentée en Conseil des ministres le 26 juin, devrait faciliter la recherche d’un accord entre l’exécutif et le Sénat, sans qui la réforme est impossible. Sur la baisse du nombre de parlementaires, Emmanuel Macron a mis de l’eau dans son vin. Et la partie sur la procédure parlementaire est supprimée.
Public Sénat, en partenariat avec France Culture, vous propose d'écouter Livres & vous grâce au podcast de l'émission. Cette semaine, Adèle Van Reeth reçoit deux invités, la romancière Lydie Salvayre, auteure d’une vingtaine de livres, prix Goncourt 2014 pour « Pas Pleurer » , qui s’est laissée enfermer au Musée Picasso, face au plus fameux des Giacometti, l’homme qui marche. Et l’écrivain et scénariste Dan Frank qui avec son livre « Le vol de la Joconde » (éditions Grasset ) met en scène « ses » deux génies que sont Picasso et Apollinaire. Une rencontre autour de l'art...
Passer une nuit entière au Musée dans la seule compagnie des œuvres, traverser les rues de Paris aux côtés de peintres et de poètes… Par ces expériences insolites nos invités, aujourd’hui, ravivent notre intérêt pour l’art et la création.
Le député de la France insoumise, Éric Coquerel estime que la réforme du règlement de l’Assemblée nationale, qui a poussé les oppositions à la fronde, s’inscrit dans une même logique que la réforme constitutionnelle : affaiblir le Parlement.
Malgré le mauvais score de son mouvement aux européennes, le député considère que la situation de Jean-Luc Mélenchon n’est pas comparable avec celle de Laurent Wauquiez, qui a démissionné de la présidence des Républicains le 2 juin. La responsabilité de « l’échec » est « collective », insiste-t-il.