Les négociations autour de la libération des otages permettent pour l’instant à la trêve de tenir, voire éventuellement de se poursuivre. Mais ces négociations sont aussi le signe de la victoire stratégique du Hamas sur Israël, selon le général Dominique Trinquand, spécialiste des relations internationales
Cette mesure proposée par le ministre de l’Education nationale, en réaction à l’attentat d’Arras, entre en contradiction avec l’obligation d’instruction qui figure dans la loi française. Au-delà de l’obstacle législatif, les modalités d’application d’une telle exclusion soulèvent également de nombreuses questions sur le traitement et le suivi des personnes radicalisées.
Invité de la matinale de Public Sénat, Patrick Pelloux, médecin urgentiste et ancien chroniqueur à Charlie Hebdo, a confié sa déception face à une gauche qui a selon lui délaissé le combat pour la laïcité.
Depuis l’attentat d’Arras, les alertes à la bombe se multiplient en France. Ce jeudi, encore quatorze aéroports français ont fait l’objet d’alertes à la bombe. Que risquent les auteurs ?
Aux questions d’actualité au gouvernement du Sénat, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin a tendu franchement la main à la droite sénatoriale qui demande plus de fermeté pour l’expulsion des étrangers menaçant l’ordre public. Des mesures qui seront examinées dans le cadre de l’examen du projet de loi immigration le 6 novembre.
Acteur violent et de premier plan depuis une trentaine d’années de la lutte contre Israël, le mouvement du jihad islamique palestinien est une organisation armée bien moins connue que le Hamas ou le Hezbollah. Il est considéré comme une organisation terroriste par de nombreux pays occidentaux.
Mardi soir, l’attentat qui a causé la mort de deux personnes à Bruxelles a conduit le ministre de l’Intérieur à renforcer les contrôles aux frontières entre la France et la Belgique. Si l’accord de Schengen prévoit la libre circulation des personnes, des exceptions sont prévues « en cas de menace grave pesant sur l’ordre public ». Explications.
À l’occasion d’un point presse, Emmanuel Macron a réagi à l’attaque ayant fait deux morts à Bruxelles. Le Président de la République appelle à développer un « état de vigilance » pour lutter contre le terrorisme sans renoncer à l’Etat de droit.
Emmanuel Macron a ordonné une réévaluation du degré de menace représenté par les individus inscrits dans le Fichier de traitement des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT). Il s’agit également d’accélérer l’expulsion des étrangers en situation irrégulière sur le territoire national et considérés comme dangereux.
Le chef de l’Etat s’est rendu à Arras quelques heures après l’attaque au couteau qui a fait un mort et deux blessés dans un lycée de la ville. Il a appelé la nation à « faire bloc », indiquant qu’une autre tentative d’attentat avait été déjouée, ce vendredi 13 octobre, en France.
Au-delà du drame, l’attaque au couteau qui a coûté la vie à un enseignant dans un lycée à Arras suscite de nombreuses questions parmi les sénateurs, que ce soit sur l’état de la protection des enseignants, le suivi des personnes radicalisées ou encore le lien de cette attaque avec le conflit au proche orient.