L’Ukraine est aujourd’hui officiellement candidate pour rentrer dans l’Union européenne, mais elle est loin d’être la seule ; il y a aussi la Moldavie, la Bosnie-Herzégovine, la Géorgie, la Macédoine du Nord, le Monténégro, la Serbie, l’Albanie et la Turquie …. Alors qui veut rentrer, qui peut rentrer, combien de temps ça prend et qu’est-ce que ça veut dire pour les pays qui sont déjà membres comme nous ? C’est ce qu’on va voir dans cet épisode : pour tout comprendre au processus d’adhésion à l’Union européenne. Mon invitée : Elise Bernard, directrice des études de la Fondation Robert Schuman Vous souhaitez soutenir Trait d’Union ou en savoir plus ? Rendez-vous sur www.traitdunionpodcast.com
Le ministre de l’Industrie tire à boulets rouges sur les propositions du Rassemblement national concernant la politique énergétique et industrielle que la France devrait mener. Une manière de tenter de discréditer le parti d’extrême droite, qui caracole en tête des intentions de vote aux Européennes, à deux semaines du scrutin
Si l’on s’attend à une poussée de l’extrême droite lors des élections européennes du 9 juin, difficile de prévoir son influence à venir. Aujourd’hui divisée en deux groupes, l’un fréquentable, l’autre très isolé, une partie de la droite radicale européenne pourrait toutefois trouver des terrains d’entente avec le PPE.
D’ici 2035, l’Union européenne s’est engagée à ne plus produire de véhicules thermiques neufs dans tous ses États membres. Un engagement qui accuse de lourds retards, pointés du doigt par un récent rapport de la Cour des comptes européenne. Auditionné par les parlementaires, Wopke Hoekstra s’est pourtant montré optimiste.
Après un discours particulièrement scruté à la Sorbonne, Emmanuel Macron a répété sa volonté « d’ouvrir le débat » sur la mutualisation des armes nucléaires françaises avec les autres Etats de l’Union européenne. Si le président de la République est resté flou sur ses propositions, ces déclarations ont suscité un rejet quasi unanime au sein de la classe politique française.
Aujourd’hui, prenons la direction du nord de l’Europe, pour aller en Finlande, pays de 5,5 millions d’habitants limitrophe de la Russie. Les deux Etats partagent 1340km de frontière. Évidemment depuis l’invasion massive de l’Ukraine, la Russie est devenue un voisin de plus en plus gênant pour la Finlande qui se prépare même à une attaque à tout moment. C’est ce dont on va parler avec mon collègue Jonathan Dupriez qui rentre justement d’un reportage à Helsinki pour Public Sénat. Vous souhaitez soutenir Trait d’Union ou en savoir plus ? Rendez-vous sur www.traitdunionpodcast.com
Le chef de l'Etat a prononcé jeudi 25 avril à la Sorbonne un long discours pour appeler les 27 à bâtir une « Europe puissance ». À l’approche des élections européennes, son intervention apparait aussi comme une manière de dynamiser une campagne électorale dans laquelle la majorité présidentielle peine à percer. Interrogés par Public Sénat, les communicants Philippe Moreau-Chevrolet et Emilie Zapalski décryptent la stratégie du chef de l’Etat.
Sept ans après une allocution au même endroit, le président de la République était de retour à La Sorbonne, où il a prononcé ce jeudi 25 avril, un discours long d’1h45 sur l’Europe. Se faisant le garant d’une « Europe puissance et prospérité », le chef de l’Etat a également alerté sur le « risque immense » que le vieux continent soit « fragilisé, voire relégué », au regard de la situation internationale, marquée notamment par la guerre en Ukraine et la politique commerciale agressive des Etats-Unis et de la Chine.
Le président de la République a dévoilé ce jeudi 25 avril sa vision d’une « Europe puissance », à un peu plus d’un mois des élections européennes. Durant 1h45, Emmanuel Macron a égréné les grands défis du continent.
Alors qu’Emmanuel Macron prononcera un discours sur l’Europe, ce jeudi à La Sorbonne, retour sur le bilan de son action européenne, marquée par le soutien à l’Ukraine face à l’invasion russe.
Ce jeudi 25 avril, le président de la République prononcera un discours sur l’Europe à la Sorbonne, sept ans après une première prise de parole. Une façon de relancer la liste de Valérie Hayer, qui décroche dans les sondages ? L’Élysée dément, affirmant que ce discours n’aura « rien à voir avec un meeting politique ».
A moins de 50 jours des élections européennes, qui se tiendront en France le 9 juin, les députés se réunissent une dernière fois à Strasbourg, afin d’entamer une semaine marathon de votes. Au programme, pas moins de 89 textes législatifs seront examinés par les élus, qui viendront s’ajouter aux 359 déjà votés depuis le début de la législature en 2019. Pour autant, la plupart des textes, longuement négociés par les différentes institutions européennes ces derniers mois, devraient permettre d’éviter des débats qui s’éternisent.