Jusque-là en position éligible, la sénatrice PS Marie-Noëlle Lienemann voit sa place menacée depuis que LREM a déposé une liste conduite par un ancien socialiste. Pour y remédier, la sénatrice sortante envisage un changement dans l’ordre des places de la liste officielle PS. Des proches de Benoît Hamon souhaitent, quant à eux, la constitution d’une liste socialiste dissidente.
Le choix des Britanniques de sortir de l'UE constitue selon un rapport d’information du Sénat « un véritable défi pour le bouclage budgétaire de l'Union avant même la fin de la période 2014-2020 ».
Michel Mercier, ancien garde des Sceaux, a été proposé par Gérard Larcher, président du Sénat, pour remplacer au Conseil constitutionnel, Nicole Belloubet, nouvellement ministre de la justice.
Deuxième épisode du feuilleton des investitures aux sénatoriales de La République en Marche. Après avoir dévoilé une première série de candidats la semaine dernière, hier soir, 18 nouveaux candidats ont été officialisés.
Le parti d'Emmanuel Macron, La République en marche, a dévoilé mardi soir le nom de 18 nouveaux candidats aux élections sénatoriales de septembre, dont la ministre auprès du ministre de l'Intérieur, Jacqueline Gourault (MoDem), dans le Loir-et-Cher.
Ce mardi, les sénateurs ont été amenés à se prononcer sur les différents amendements apportés à l’article 1 du projet de loi d’habilitation, qui entend notamment donner aux accords d’entreprise une « place centrale ». La quasi-totalité d’entre eux ont été rejetés, à la grande déception des communistes et des socialistes, auteurs de la plupart d’entre eux.
Auditionné par la commission des Affaires économiques du Sénat, le ministre de l’Économie dit « assumer » des « décisions courageuses » dans la baisse de la dépense publique.