La première alliance syndicale agricole FNSEA-Jeunes Agriculteurs a appelé à se mobiliser ce vendredi dans toute la France contre le traité de libre-échange entre l’Union européenne et des pays latino-américains du Mercosur.
L’ancien Président de la République Nicolas Sarkozy a été condamné hier à cinq ans de prison avec exécution provisoire pour association de malfaiteurs, dans l’affaire du financement libyen de sa campagne. La notion d’« association de malfaiteurs » a été supprimée du Code pénal, en 1983, par le gouvernement de gauche de Pierre Mauroy. C’est le gouvernement de Jacques Chirac, en 1986, qui l’a réintroduite.
C’est une priorité. Au lendemain d’un nouveau survol de drones non identifiés au-dessus d’un aéroport danois, plusieurs pays de l’Union européenne se réunissent en urgence pour se doter d’un « mur anti-drones ». Quelle forme prendra-t-il ? Eléments de réponse.
L’ancien président de la République a été condamné jeudi à 5 ans de prison pour « association de malfaiteurs », avec mandat de dépôt différé. Cette décision historique a été largement commentée par les médias du monde entier. Revue de presse.
Le RN se prépare dès maintenant pour les sénatoriales de septembre 2026. « Nous avons la volonté de doubler voire de tripler notre nombre de sénateurs », annonce à publicsenat.fr Ludovic Pajot, nommé directeur de campagne, soit frôler les dix sénateurs, permettant de créer un groupe. Mais avant cela, le parti devra réussir les municipales. Il entend, cette fois, éviter les « brebis galeuses ». Il cherche des candidats présentables, capables de « gérer une ville ».
Malgré le choc que constitue l’incarcération prochaine de Nicolas Sarkozy, l’exécution d’une peine de prison avant un procès en appel n’est pas exceptionnelle au regard des données du ministère.
Plus de quatre jeunes sur cinq entre 11 et 17 ans accèdent quotidiennement à au moins une grande plateforme en ligne, selon une étude menée par l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom). 83% d’entre eux disent y être exposés régulièrement à un risque, ou plus.
Au Sénat, le président du groupe centriste, Hervé Marseille, « n’arrive pas à comprendre le sens » de la décision du tribunal. « Il y a dans ce jugement une valeur d’exemplarité », note pour sa part le macroniste François Patriat. A gauche, le communiste Ian Brossat raille la campagne des LR sur « la France des honnêtes gens ».
Jean-Michel Aulas a réussi à agréger en trois semaines les soutiens de LR, de Renaissance, de l’UDI et d’Horizons. La droite et le centre lyonnais misent ainsi sur la popularité d’une figure lyonnaise, sorte de symbole d’un affaiblissement des partis politiques qui les touche aussi au niveau local.
Détenus depuis plus de trois ans en Iran, Cécile Kohler et Jacques Paris sont accusés par Téhéran « d’espionnage pour le Mossad ». Mercredi, à l’issue d’un entretien avec le président iranien Massoud Pezeshkian, Emmanuel Macron a affirmé entrevoir une « perspective solide » en vue de leur libération.
Outre les messages de soutien attendus à destination de l’ancien président de la République issu de leurs rangs, de nombreux élus LR se sont étonnés ce 25 septembre de la sévérité de la décision de justice. Au Sénat, plusieurs membres du groupe LR s'interrogent sur le bien-fondé de l'exécution provisoire.
Nicolas Sarkozy a été condamné à une peine de 5 ans de prison, 100 000 euros d’amende pour association de malfaiteurs avec mandat de dépôt différé, assorti d’une exécution provisoire. Si l’ancien chef de l’Etat a annoncé qu’il fera appel, il ira quand même en prison en attendant son second procès. Explications.
L’ancien chef de l’Etat a été jugé condamné à 5 ans de prison dans l’affaire du financement illégal de sa campagne de 2007 par la Libye de Mouammar Kadhafi. « La haine n’a donc décidément aucune limite », réagit Nicolas Sarkozy, « cette injustice est un scandale, je ne m’excuserai pas de quelque chose que je n’ai pas fait ». Il annonce faire appel.
Fustigeant les silences et « la langue de bois » du Premier ministre, qui n’a toujours pas présenté de pistes budgétaires deux semaines après sa nomination, l’intersyndicale a décidé de maintenir la pression sur l’exécutif avec une nouvelle journée de mobilisation, le 2 octobre. De son côté, le patronat s’inquiète de voir le débat se concentrer sur les questions fiscales.
Un rapport sénatorial tire un bilan en « demi-teinte » des intercommunalités, dix ans après les dernières grandes réformes territoriales, qui ont renforcé leur rôle. Il formule vingt propositions pour lever les freins au bon fonctionnement de ces coopérations locales.
Le service public audiovisuel est dans la tourmente. Après la publication d’un rapport alarmant de la Cour des comptes sur ses perspectives financières, une guerre ouverte avec les médias du groupe Bolloré et la suspension de l’examen de la réforme de l’audiovisuel public, le Sénat décide d’ouvrir un cycle d’auditions qui lui sont consacrées.
Au Sénat, l’examen en première lecture des deux textes sur la fin de vie, dont l’un portant création d’un droit à l’aide à mourir, aurait dû démarrer le 7 octobre, mais les consultations lancées par le nouveau Premier ministre pour former un gouvernement pourrait repousser ce calendrier d’une semaine.
Coup de tonnerre, Nicolas Sarkozy a été condamné à 5 ans de prison pour association de malfaiteurs, avec mandat de dépôt différé, assorti d'une exécution provisoire dans l'affaire du financement libyen de sa campagne. Il devrait donc être incarcéré. Le tribunal correctionnel n’a pas toutefois pas suivi les réquisitions du parquet national financier et a relaxé l’ancien chef d’Etat des chefs d'accusation de financement illégal de campagne et de corruption.
Invité de la matinale de Public Sénat, le président du Sénat a alerté contre les conséquences d’une augmentation de la fiscalité, un sujet au cœur du débat budgétaire depuis plusieurs semaines. Il estime qu’une taxation des très hauts patrimoines, telle que proposée avec la taxe Zucman, « serait une manière d’empêcher ce pays de redécoller ».
Au micro de la matinale de Public Sénat, le président du Sénat Gérard Larcher invite le Premier ministre Sébastien Lecornu à « repartir sur des bases saines » avec les partis du socle commun, et à définir un ensemble de sujets « piliers » sur lesquels il serait possible d’avancer collectivement.