Après vingt et un mois de guerre dans la bande Gaza, le cap de 60 000 morts vient d’être franchi. Morts sous les bombardements ou morts de faim, un tiers de la population passe aujourd’hui plusieurs jours sans manger. Depuis dimanche, Israël a autorisé le largage de nourriture dans la bande de Gaza. Mais les ONG humanitaires estiment que cela ne suffira pas à faire face à la famine rampante qui ravage le territoire.
Lundi 28 juillet, le président américain, Donald Trump a mis en garde son homologue russe lui donnant un délai de « 10 à 12 jours » pour proposer un règlement du conflit en Ukraine. Un durcissement de la rhétorique de Donald Trump qui semble néanmoins voué à l’échec faute de moyens de pression sur Vladimir Poutine.
Au cours de l’été, le Conseil constitutionnel devrait être particulièrement actif et rendre six décisions. Une forte activité qui découle du grand nombre de textes adoptés définitivement à la fin de la session parlementaire.
Les produits européens seront-ils taxés de 5% supplémentaires à leur arrivée sur le territoire américain ? Telle est la proposition de l’accord de Turnberry, discuté dimanche entre Donald Trump et la présidente de la Commission européenne. Dénoncé de tous côtés, cet accord est pourtant encore loin d’être mis en œuvre.
La commission nationale d’investiture de LR qui se réunissait ce lundi a investi Michel Barnier pour être candidat dans la deuxième circonscription de Paris, malgré cela Rachida Dati a annoncé maintenir sa candidature. La présidente de la fédération de Paris, Agnès Evren, a été chargée de trouver un compromis entre les deux candidats.
Après les précisions de Catherine Vautrin pour réduire de 5,5 milliards d’euros les dépenses de santé, la majorité sénatoriale salue des mesures courageuses reprenant les pistes du Sénat. La gauche craint pour sa part que les malades soient les seuls à devoir supporter cette baisse des dépenses.
L’ancien Premier ministre a été préféré, par la Commission nationale d’investiture de LR, à Rachida Dati pour représenter la droite lors de l’élection législative partielle à Paris. La ministre de la Culture a assuré qu’elle serait quand même candidate.
Les exportations européennes seront taxées à 15% à partir du premier août, contre 10% actuellement. Réunis en Ecosse dimanche 27 juillet, la présidente de la commission européenne et Donald Trump sont arrivés à un accord, largement critiqué depuis. Les Européens y voient une soumission de l’UE aux volontés du président américain.
Un an et demi après l’élection du sulfureux Javier Milei, l’Argentine connaît des évolutions profondes, tant sur le plan politique, social ou économique. Retour sur les conséquences de la politique du président argentin et des enjeux pour la suite de son mandat avec David Copello, maître de conférences en sociologie politique à l’Institut Catholique de Paris et chercheur associé au Centre de Recherche et de Documentation sur les Amériques. Entretien.
C’est l’épopée d’un homme qui a marqué l’Histoire… Né à Ajaccio en 1769, la série Napoléon réalisée par Yves Simoneau revient sur le destin exceptionnel de celui qui fut deviendra le premier empereur des Français en devenant Napoléon 1er. C’est le début de l’ascension du jeune général, à partir de 1795, que retrace le premier volet de la mini-série « Napoléon - Episode 1 - Le Chant du Départ (1795-1800) », avec Christian Clavier. Un film diffusé cet été sur Public Sénat.
L’annonce d’Emmanuel Macron en faveur de la reconnaissance de l’État de Palestine marque l’aboutissement d’un long processus politique. Paris assume aujourd’hui un rôle moteur pour faire émerger un État palestinien viable. Récit d’un long itinéraire diplomatique.
Emmanuel Macron profitera de l’Assemblée générale des Nations unies en septembre pour annoncer la reconnaissance d’un Etat palestinien par la France. L’aile droite du socle gouvernemental dénonce une décision précipitée qui ne respecte pas certains des engagements pris le chef de l’Etat. La gauche salue une étape décisive pour la mise en place d’une solution « à deux Etats ».
Le Conseil des Sages va rendre sa décision sur la très controversée loi Duplomb qui réintroduit de manière dérogatoire un néonicotinoïde tueur d’abeilles. Dans le même temps, une pétition, qui recueille plus de 1,9 million de signatures, réclame son « abrogation immédiate ».
Ce jeudi 24 juillet, le président de la République a fait part de son intention de reconnaître officiellement l’État de Palestine en septembre lors de l’Assemblée générale des Nations unies. Retour près de onze ans en arrière, le 11 décembre 2014, quand le Sénat avait adopté une résolution invitant le gouvernement français à reconnaître l’État de Palestine.
En annonçant que la France allait reconnaître l’État de Palestine à l’occasion de l’Assemblée générale des Nations Unies en septembre, Emmanuel Macron tente de créer une dynamique et un effet d’entraînement pour les pays occidentaux. Néanmoins, les conséquences opérationnelles de cette reconnaissance devraient être limitées.
Dans son projet de budget pour 2026, le gouvernement prévoit de baisser de 17,6 % les crédits de la mission Sport, jeunesse et vie associative. Une décision qui a du mal à passer, alors que le budget des sports a déjà été réduit dans le projet de loi de finances pour 2025, puis plus tard en cours d’année. A l’heure de la célébration de l’anniversaire des Jeux olympiques et paralympiques de Paris, le sport est-il devenu le grand oublié de l’action publique ?
Dans un message posté sur X et Instagram jeudi soir, le président français Emmanuel Macron a annoncé vouloir reconnaître l’Etat de Palestine en septembre prochain à l’occasion d’une conférence onusienne. Israéliens et Américains fustigent la décision française tandis que l’Allemagne déclare ne pas envisager une reconnaissance « à court terme ». A ce jour, 142 Etats reconnaissent l’Etat palestinien soit les trois quarts des pays membres de l’ONU.
La France va reconnaître l'Etat de Palestine en septembre à l'ONU, a annoncé jeudi le président Emmanuel Macron, espérant créer une dynamique collective en ce sens, une décision aussitôt décriée par Israël comme une « récompense de la terreur » et « fermement » rejetée par les Etats-Unis.
Donald Trump est dans la tourmente depuis les révélations du Wall Street Journal sur ses liens avec le milliardaire et prédateur sexuel, Jeffrey Epstein. Après avoir fait de la déclassification du « dossier Epstein » un thème de campagne, le président américain tente de se défaire d’une polémique qu’il a lui-même déclenchée.
Dans un avis rendu le 23 juillet, la Cour internationale de justice précise les obligations des Etats en matière climatique ainsi que les sanctions auxquelles ils s’exposent en cas de non-respect de leurs obligations. Un avis historique qui pourrait révolutionner le contentieux climatique.