Par Public Sénat
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Ce jeudi, le Bureau du Sénat a procédé à la désignation du nouveau Président-directeur général de Public Sénat et a réélu Emmanuel Kessler, PDG de la chaîne. Son deuxième mandat prendra effet le 1er juin 2018 pour une durée de trois ans.
Le 29 mars dernier, à la suite de l’audition de quatre candidats présélectionnés, la commission de sélection du Sénat avait retenu les candidatures de Jean-François Achilli et d'Emmanuel Kessler, candidat pour un deuxième mandat consécutif. La décision finale a été prise par le Bureau de la Haute assemblée, sur proposition du Président du Sénat, Gérard Larcher, après une nouvelle audition, ce matin, des deux derniers candidats en lice.
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Alors que la loi du 13 avril 2016 visant à renforcer la lutte contre le système prostitutionnel et à accompagner les personnes prostituées, peine encore à produire ses effets, le gouvernement a annoncé la présentation d’un nouveau plan pour lutter contre la prostitution, à l’aube d’une augmentation inquiétante des chiffres chez les mineurs. Selon les associations, ils seraient entre 7 000 et 10 000 à être aujourd’hui prostitués, un chiffre qui a doublé ces dernières années.
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Commandé par l’exécutif, le rapport d’experts sur l’usage des écrans chez les enfants a été remis au président de la République ce 30 avril. En 2018, le sujet avait déjà fait l’objet d’une proposition de loi largement votée au Sénat, mais jamais discutée à l’Assemblée. Auteure du texte, la sénatrice centriste Catherine Morin-Desailly dénonce aujourd’hui « une perte de temps ».
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Dans un communiqué publié ce mardi 30 avril, le sénateur communiste Ian Brossat demande au préfet de police de Paris d’interdire une conférence à l’Université Panthéon-Assas.
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Alors que de multiples faits divers concernant des mineurs font l’actualité ces dernières semaines, le dernier en date, le meurtre de Matisse, 15 ans, poignardé à mort, samedi dernier à Châteauroux, par un mineur afghan âgé lui aussi de 15 ans et placé sous contrôle judiciaire, cinq jours avant le meurtre, Gabriel Attal a annoncé, le 18 avril dernier, souhaiter « ouvrir le débat » sur l’excuse de minorité. Mais au fait, à quoi fait référence cette qualification pénale, qui revient régulièrement dans les discussions ?
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