On a découvert son visage il y a dix ans, au lendemain des attentats de janvier 2015. Sur les plateaux de télévision, on a sollicité son analyse de juge d’instruction au pôle antiterroriste. Il est venu y décrypter l’horreur. Alerter aussi, sur la puissance d’un monstre d’une nouvelle nature, l’Etat islamique, et l’imminence d’une autre attaque. Il avait vu juste. A l’occasion du dixième anniversaire des attentats de janvier 2015, le magistrat livre son analyse sur l’état du risque terroriste en France. Lutte contre la désinformation sur les réseaux sociaux, endoctrinement des plus jeunes, le chemin semble encore long pour endiguer cette menace mouvante mais toujours bien réelle. Rebecca Fitoussi reçoit Marc Trévidic, cette semaine, dans « Un monde, un regard ».
Dix ans après les attentats de Charlie Hebdo et de l’Hyper Cacher, trois commémorations se sont tenues, ce mardi 7 janvier, pour rendre hommage aux victimes. Bernard Maris, journaliste et économiste, est l’une d’elles. En 2016, Public Sénat a diffusé un documentaire pour raconter l’originalité de la personnalité de cet homme, inspiré de la psychanalyse pour penser le capitalisme et qui trouvait que la littérature raconte mieux le monde que les experts de sa discipline. Replay.
Le 7 janvier 2015, les frères Chérif et Saïd Kouachi tuaient douze personnes dans l’attaque terroriste de la rédaction de Charlie Hebdo. Depuis, la France a musclé son arsenal juridique, promulguant une dizaine de textes pour renforcer la surveillance, assurer la sécurité de certains lieux, ou encore prévenir la récidive. Tour d’horizon.
Dix ans après les attentats de Charlie Hebdo, le dessin de presse, symbole de la liberté d’expression, est toujours une cible de choix pour les censeurs de tous bords. Publicsenat.fr a recueilli les témoignages de deux dessinateurs de presse, membre du collectif « Cartooning for Peace ».
Dix ans se sont écoulés depuis l’attentat de Charlie Hebdo qui a causé la mort de 12 personnes à l’intérieur et aux abords de la rédaction du journal satirique. Les terroristes, les frères Kouachi, avaient ciblé l’hebdomadaire en raison de la publication de caricatures du prophète Mahomet.