Par Héléna Berkaoui
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Invité de Territoires d’Infos ce lundi, Franck Riester a annoncé que son parti politique, Agir, présenterait des candidats à l’élection européenne de 2019. Le député de Seine-et-Marne, et d’autres parlementaires Macron-compatibles, ont fondé ce parti politique à la suite de leurs exclusions des Républicains. Se décrivant eux-mêmes comme les représentants d’une « droite constructive », ils tiennent à se différencier de la ligne conservatrice incarnée par Laurent Wauquiez. Une majorité des membres de ce nouveau parti politique sont des proches d’Alain Juppé.
Contrairement aux nombreux « mouvements politiques » qui ont récemment vu le jour, le parti politique lancé par Franck Riester affirme qu’il y « aura des candidats Agir aux élections européennes » de 2019. Le député de Seine-et-Marne n’exclut pas des alliances politiques avec leurs « partenaires centristes de l’UDI et peut-être avec d’autres formations politiques qui partageraient avec nous cette volonté de réformer l’Europe en étant convaincu que la France sera plus forte si l’Europe est plus forte. »
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Dénonciation de l’accord franco-algérien : le socle commun se fracture sur une résolution RN
C’est une victoire symbolique pour le RN qui est parvenu à faire adopter à une voix près, à l’Assemblée nationale sa proposition de résolution visant à « dénoncer » l’accord franco-algérien de 1968. Un texte non contraignant voté avec l’appui des Républicains et d’Horizons. Le Modem et Renaissance ont voté contre.
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Au palais du Luxembourg, les sénateurs attendent que le texte, qui déterminera l’avenir de la réforme des retraites, arrive dans leur hémicycle. Les Républicains promettent de faire barrage à toute tentative de suspension, là où les socialistes veulent y voir un premier pas vers une abrogation.
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Si la suspension de la réforme des retraites venait à être adoptée, la Caisse nationale d'assurance vieillesse a souligné que dans l’état actuel du projet de loi, la mise à jour des systèmes informatiques sera dans les temps avant l’automne. Elle met toutefois un bémol en cas de mesures qui s’étendraient par exemple aux carrières longues, non incluses à ce jour dans le texte.
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Invité de notre matinale, Renaud Dutreil a défendu la niche fiscale sur la transmission d’entreprises qu’il avait créée en 2003. L’ancien dirigeant de l’UMP fustige le rapport de la Cour des comptes, « officine socialiste », appelant à toiletter le dispositif et critique la volonté de la gauche « de détruire l’économie française » dans les débats budgétaires.
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