Benoît Hamon au Portugal vendredi et samedi
Le candidat socialiste à la présidentielle, Benoît Hamon, se rendra vendredi et samedi au Portugal, un pays où le Premier...

Benoît Hamon au Portugal vendredi et samedi

Le candidat socialiste à la présidentielle, Benoît Hamon, se rendra vendredi et samedi au Portugal, un pays où le Premier...
Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Le candidat socialiste à la présidentielle, Benoît Hamon, se rendra vendredi et samedi au Portugal, un pays où le Premier ministre socialiste Antonio Costa gouverne avec l'appui de la gauche radicale et des communistes.

Le Portugal pourrait servir d'exemple politique pour M. Hamon, qui cherche à nouer un accord avec le leader de la gauche radicale française Jean-Luc Mélenchon et ses alliés communistes, ainsi que l'écologiste Yannick Jadot.

Vendredi après-midi, M. Hamon commencera sa visite par le lycée français de Lisbonne, avant une rencontre avec les syndicats portugais puis avec les partis politiques de gauche, selon le programme de son déplacement diffusé par son équipe de campagne.

Le candidat, qui propose la dépénalisation du cannabis, doit rencontrer samedi matin des associations investies dans la dépénalisation des drogues.

Après un déjeuner avec la communauté franco-portugaise, il rencontrera le Premier ministre Costa vers 16H00.

Après son arrivée au pouvoir en 2015, le gouvernement socialiste portugais est revenu sur une série de mesures de rigueur instaurées par la droite en échange d'un plan d'aide financière internationale accordé en 2011.

Partager cet article

Dans la même thématique

5min

Politique

Conférence Travail et Retraites : « Si on veut avancer sur les retraites, il faut passer par la case travail »

Alors que la bataille à laquelle se livrent l’exécutif et les députés sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale bat son plein à l’Assemblée nationale, les partenaires sociaux se réunissent ce matin pour la première plénière de la conférence sur les retraites. Souhaitée par Sébastien Lecornu, le ministre du Travail et des Solidarités Jean-Pierre Farandou y voit une « démarche moderne et inédite », souhaitant replacer le travail au cœur des débats.

Le