Didier Guillaume réélu à la tête du groupe PS du Sénat
Le sénateur de la Drôme a été réélu à la tête du groupe PS au Sénat

Didier Guillaume réélu à la tête du groupe PS du Sénat

Le sénateur de la Drôme a été réélu à la tête du groupe PS au Sénat
Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Après avoir voté sur la ligne ce mardi matin, (voir notre article sur le sujet) -une ligne de rassemblement- le groupe PS du Sénat a réélu Didier Guillaume à sa tête. Le sénateur de la Drôme a été élu au premier tour avec 36 voix sur 70. Laurence Rossignol, la sénatrice de l'Oise et ancienne ministre, a recueilli 32 voix, tandis que Martial Bourquin sénateur du Doubs a recueilli 12 voix.

Partager cet article

Dans la même thématique

Didier Guillaume réélu à la tête du groupe PS du Sénat
4min

Politique

Armement : Kaja Kallas appelle la France à « augmenter les cadences de production »

C’est la voix de la diplomatie européenne. Au moment où le cessez le feu connait des ratés à Gaza, et où la guerre s’enlise en Ukraine, quelle place pour les Européens ? Comment peser sur les grands conflits en cours ? Guerre en Ukraine, cessez-le-feu à Gaza, ou encore traité de libre-échange avec les pays du Mercosur, la Haute représentante de l’Union européenne pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité Kaja Kallas défend son action et répond sans détour aux questions de Caroline de Camaret et d’Armen Georgian dans Ici l’Europe.

Le

Didier Guillaume réélu à la tête du groupe PS du Sénat
5min

Politique

Sarkozy à la Santé : la visite de Darmanin « peut être interprétée comme une forme de pression » sur les magistrats, note François Molins

Un collectif d’avocats a déposé plainte contre Gérald Darmanin pour son soutien apporté à Nicolas Sarkozy incarcéré pour association de malfaiteurs dans l’affaire du financement libyen de sa campagne de 2007. Interrogé sur ce point l’ancien procureur général près la Cour de cassation, François Molins considère, lui aussi, que le déplacement du garde des Sceaux à la prison de la Santé pour y rencontrer l’ancien chef d’Etat « peut être interprété comme une forme de pression » sur les magistrats.

Le