Par Public Sénat
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« Il est important que le pluralisme continue d’irriguer nos assemblées parlementaires » a plaidé le président du groupe RDSE au Sénat dans son allocution. « Un parlement prisonnier du fait majoritaire pourrait-il garantir cette bienveillance ? (…) Aujourd’hui, le président a fait le choix de s’exprimer devant le Congrès. C’est son droit. Dire qu’à ce stade tout est clair… il nous faudra décrypter cette déclaration, dense, agréable à l’oreille et de belle tenue linguistique. »
« Les défis qui s’offrent à la France sont immenses, ainsi sera-t-il nécessaire d’entendre sinon d’écouter tout le monde » précise-t-il, regrettant que le président de la République n’ait pas clarifié le calendrier concernant l’apport d’une dose de proportionnelle.
« Au RDSE, nous serons vigilants sur cette question de la diversité politique » prévient le sénateur. « En attendant, mes chers collègues de la majorité, vous avez les mains libres. C‘est une responsabilité lourde (…) oui il ne faudra pas décevoir. »
« Nous avons besoin de simplifier le code du travail, d’alléger le quotidien des entreprises de réformer l’assurance chômage. Oui il faut moderniser notre économie (…) oui, il faut un nouveau modèle de croissance » énumère-t-il.
« Nous sentons bien que nous sommes à un tournant et que l’avenir de la France dépend de nos capacités à dépasser les blocages » conclut Gilbert Barbier.
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Auditionné par la commission d’enquête du Sénat sur les agences de l’Etat, Laurent Marcangeli est revenu sur la méthode du gouvernement pour « simplifier » l’écosystème des agences et opérateurs de l’Etat. Les plans ministériels devraient être finalisés à la mi-juin et ce travail pourrait donner lieu à un projet de loi, voire une proposition de loi, a annoncé le ministre de la Fonction publique.
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A 10 jours de l’élection du président des Républicains, Laurent Wauquiez laboure les terres de la droite pour aller chercher une victoire face au favori, Bruno Retailleau. Ce mercredi, dans un restaurant du XVe arrondissement de Paris, le chef de file des députés de droite a présenté sa candidature « de rupture » avec le pouvoir en place. Membre du gouvernement, l’élection de Bruno Retailleau à la tête des LR ferait prendre le risque, selon lui, d’une dilution de la droite dans le macronisme.
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