Pécresse « satisfaite » que « l’euro-scepticisme recule » chez LR
La présidente de l'Île-de-France Valérie Pécresse s'est dite "satisfaite" que "l'euro-scepticisme recule" chez Les Républicains ...

Pécresse « satisfaite » que « l’euro-scepticisme recule » chez LR

La présidente de l'Île-de-France Valérie Pécresse s'est dite "satisfaite" que "l'euro-scepticisme recule" chez Les Républicains ...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Mis à jour le

La présidente de l'Île-de-France Valérie Pécresse s'est dite "satisfaite" que "l'euro-scepticisme recule" chez Les Républicains (LR), après avoir fait une brève apparition au Conseil national du parti à Menton.

"Je vois aujourd’hui que l’euro-scepticisme recule et que le message pro-européen avance et j’en suis très satisfaite", a déclaré Mme Pécresse à la presse.

"Je vois aussi qu’on a renoncé à démanteler l’Europe, à la rétrécir à 6, à 12. On est vraiment dans un projet pour sauver l’Europe à 27. C’est une bonne chose", a-t-elle poursuivi, dans une allusion au projet d'Europe des cercles concentriques prôné par Laurent Wauquiez.

Mme Pécresse a estimé que l'Europe devait "protéger très fortement". "Je défends aussi une Europe de conquête, qui doit s'incarner à travers toute une série de politiques ambitieuses, et aussi un travail sur l'influence de la France en Europe".

La présidente de Libres!, mouvement associé à LR, est entrée dans la salle du Conseil national sous un mélange de huées et d'applaudissements. Elle avait été conspuée lors du précédent Conseil national en janvier, lors duquel elle avait théorisé l'existence de "deux droites".

Partager cet article

Dans la même thématique

Paris : session of questions to the government at the Senate
9min

Politique

Face à un « budget cryptosocialiste », la majorité sénatoriale veut « éradiquer tous les impôts » votés par les députés

Ils vont « nettoyer » le texte, le « décaper ». Les sénateurs de droite et du centre attendent de pied ferme le budget 2026 et le budget de la Sécu. Après avoir eu le sentiment d’être mis à l’écart des discussions, ils entendent prendre leur revanche, ou du moins défendre leur version du budget : plus d’économies et faire table rase des impôts votés par les députés.

Le

Marseille: Amine Kessaci candidate
4min

Politique

Assassinat du frère d’Amine Kessaci : le militant écologiste engagé contre le narcotrafic était « sous protection policière et exfiltré de Marseille depuis un mois »

Le petit frère d’Amine Kessaci, jeune militant écologiste marseillais, connu pour son combat contre le narcotrafic, a été tué par balles jeudi soir à Marseille. L’hypothèse d’un assassinat d’avertissement est privilégiée et pourrait faire basculer la France un peu plus vers ce qui définit les narco Etats. C’est ce que craignaient les sénateurs de la commission d’enquête sur le narcotrafic. Le sénateur écologiste de Marseille Guy Benarroche, proche d’Amine Kessaci a pu s’entretenir avec lui, ce matin.

Le

Pécresse « satisfaite » que « l’euro-scepticisme recule » chez LR
2min

Politique

Assassinat du petit frère d’Amine Kessaci : revoir le documentaire sur le combat contre le narcotrafic du militant marseillais 

Mehdi, le petit frère d’Amine Kessaci, jeune militant écologiste marseillais, connu pour son combat contre le narcotrafic, a été tué par balles jeudi soir à Marseille. En 2020, c’est l’assassinat de son grand frère Brahim, qui avait conduit le jeune garçon à s’engager en politique. Son parcours est le sujet du documentaire « Marseille, des larmes au combat », Anaïs Merad, à revoir sur Public Sénat.

Le

Pécresse « satisfaite » que « l’euro-scepticisme recule » chez LR
3min

Politique

Projet de loi anti-fraudes : « C’est un objet politique qui vise essentiellement à montrer du doigt la fraude sociale »

Invités sur le plateau de Parlement Hebdo, le sénateur Bernard Jomier (Place Publique) et le député Sylvain Berrios (Horizons) sont revenus sur le projet de loi pour lutter contre les fraudes fiscales et sociales, examiné par la Chambre haute depuis mercredi. La majorité rassemblant les élus de la droite et du centre au Sénat ont affermi le texte en commission, y ajoutant une batterie de mesures qui ne fait pas consensus.

Le