Bedos président du comité de soutien de Montebourg: l’humoriste dément
L'humoriste Guy Bedos, annoncé par Arnaud Montebourg comme ayant pris la tête de son comité de soutien pour la primaire organisée...

Bedos président du comité de soutien de Montebourg: l’humoriste dément

L'humoriste Guy Bedos, annoncé par Arnaud Montebourg comme ayant pris la tête de son comité de soutien pour la primaire organisée...
Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

L'humoriste Guy Bedos, annoncé par Arnaud Montebourg comme ayant pris la tête de son comité de soutien pour la primaire organisée par le PS, a démenti lundi cette information, assurant ne pas vouloir "avoir de rôle officiel en politique".

"On en a discuté, j'en ai plaisanté avec lui mais je ne veux pas avoir de rôle officiel en politique", a déclaré M. Bedos à l'AFP, confirmant une information révélée par Le Figaro.

"Je lui ai même dit que je serais président avant lui. Je vais voter pour lui, je le soutiens mais je ne veux pas de rôle officiel en politique", a insisté l'humoriste, qui s'était rendu en Algérie avec M. Montebourg à la mi-décembre.

Le candidat à la primaire avait annoncé quelques heures plus tôt à la presse que M. Bedos avait accepté de devenir président de son comité de soutien.

Partager cet article

Dans la même thématique

Mericourt: Emmanuel Macron meets with  readers of the Ebra group,
11min

Politique

Face aux fake news, comment l’Elysée a opéré un « virage » dans sa communication

Suite aux « fausses informations » relayées sur le sujet de la « labellisation » des médias, l’Elysée a décidé de vite les démentir, via une vidéo sur X. Une nouvelle stratégie de communication, à l’œuvre depuis quelques mois, déjà observée lors d’une prétendue prise de cocaïne par Emmanuel Macron. Lui-même « victime » des affres des réseaux avec l’infox Jean-Michel Trogneux, il est d’autant plus sensibilisé à cet enjeu démocratique.

Le

Paris: Ouverture Shein magasin BHV
6min

Politique

Municipales 2026 : la gauche parisienne en quête d’union

À quatre mois des municipales, socialistes et écologistes s’enlisent dans des négociations aussi intenses que fragiles. Alors que Rachida Dati domine les sondages et impose un sentiment d’urgence, PS, PCF et EELV tentent d’arracher un accord de premier tour sans perdre la face. La gauche parisienne avance à pas comptés vers une union qui semble à la fois indispensable et désormais à portée de main.

Le